« Je ne suis qu’une distraction, un loisir, un souffle de jeunesse, je ne suis rien qu'un désir convoité. » tu dois prononcer ses mots même si rien que de les prononcer te déchires le cœur. Tu plonges tes yeux azur dans les siens, cette lueur de tristesse est aussi marquante que la tienne. Tu te forces à sourire, à passer tes doigts sur ses joues mal rasées, tu colles ton front contre le sien, ses mains viennent se poser sur tes hanches. « elle est ta femme, et porte ton enfant moi je ne suis rien qu’un passe-temps, une amante. Tu n’as pas à faire de choix, il est déjà fait. » ta voix tremble légèrement, tu fermes tes yeux pour empêcher tes larmes de traverser la barrière de tes yeux. « Ne dis pas ça. » te dit-il dans un souffle de désespoir, c’est trop tard vous devez vous dire a dieu. Tu t’es immiscées trop longtemps dans sa vie et lui dans la tienne, tu dois le quitter. Tu ne peux être la cause qu’un enfant se retrouve sans père, tu sais la douleur que cela peut produire dans un cœur innocent. « Emma je t'a.. » ton pouce ferme ses lèvres, tu lui souris. « Tu dois me quitter, la rejoindre… Tu peux m’oublier, tu le dois. » Tes lèvres touches sa joue, son coup, ses lèvres rien qu’une derniers fois. Le souffle coupé, vous vous enlacez une dernières fois, vos doigts ne veulent pas se quitter. Il s’écarte te tenant toujours la main, il te lance un regard qui écroule toute ta force alors tu lui souries cachant tes larmes. « Adieu. » te dit-il d’un air désolé, tu aurais espéré qu’il se batte pas plus mais tu es seule qui a pris cette décision. Vos doigts se lâchent, ton bras retombe le long de ton corps, tes yeux regardent sa silhouette s’éloigner sans qu’il se retourne. Tu te mets enfin à pleurer, à sentir ce trou béant dans ta poitrine. Tu halètes, tu te sens dévastés et misérable. Tu es frappées par la douleur et le froid, tu l’as à peine quitté et il te manque déjà. Tu t’es toi-même jeter dans cette impasse, t’écraser contre ce mur, il est marié toi tu n’es qu’une stupide fille qui croit trop peu en l’amour mais quand cela te tombe dessus tu es aveuglée et trop heureuse. Tu enfouies ton visage dans ton écharpe, tu serres tes bras contre ta poitrine en espérant que la douleur va geler dans ce froid… « Hey Hey baby uhh ahh. I wanna know if you be my girl. Hey Hey baby uhh ahh. Iwanna know if you be my girl. » cette sonnerie, chloé. Tu sèches tes larmes comme si elles n’avaient jamais coulé. « Hey baby, what’s up ? » dis-tu de ta voix la plus joyeuse, tu ne fais jamais par de tes peines. « Ce soir on se la mets à l’envers ! » tu raccroches, ton cœur te fais encore souffrir, tu prends une inspiration et descends les escaliers qui te mènent au monde extérieur.
Tes pupilles sont plongées dans les siennes, un sourire vient même étirer tes lèvres. « Qu’est ce qui te fais croire que j’en ai envie ? » articule-tu posant ta main sur son torse, tu mets de suite les distances car tu as simplement horreur qu’un homme t’approche ainsi. Son regard désireux de pouvoir toucher ton corps, tes seins, tu n’es pas lasse que les hommes viennent à toi car tu es belle mais ils ne font que te désirer, n’importe quel homme tu as pu croiser dans ta vie ne t’a jamais aimer. Tu ne recherches pas le grand amour non, mais tu dis que si tu avais un physique plus ingrat aucun des hommes qui t’abordent depuis ta naissance ne l’aurait fait. Oui tu es lasses que l’on t’aborde juste parce que tu es plus belle que l’anormale, tu n’en te plains pas mais ce que tu veux c’est qu’un homme t’apprécie pour ce que tu es et non pour ton physique. « Allé, rien qu’un petit. » tu secoues la tête, levant légèrement les yeux au ciel. « Je ne suis pas ce genre de fille. » dis-tu, même si parfois tu l’es quand tout vas mal tu te réfugies dans le plaisir de la chair, car tu sais que tu seras toujours désirer. « Vraiment et quel genre de femme tu es ? » son visage s’approche de ton oreille, tu le laisse faire, ses mains attrapent ta taille, vous êtes proches, tu sens son haleine alcoolisée. « Le genre à te résister et t’humilier. » ton genoux remonte jusqu’à ses bijoux de famille, il se plie de douleur. Il t’a énervé chose qu’il faut éviter car tu deviens violente. Tes doigts attrapent le verre qu’il t’a offert, tu le bois coup sec pour te baisser vers lui. « Merci pour le verre. » tes doigts glissent sur son épaule et tu te casses. Ceux qui ont vu la scène te jugent tu regard, tu n’en as rien à faire après tout ça fait longtemps que tu ne fais plus aux regards qu’une personne peut te lancer. Tu attrapes ta veste et la pose sur tes épaules pour sortir, non ce soir tu as juste envie de rentrer et de dormir, seule. Ta colocataire s’en est allée suite à son mariage, elle, tu la connais depuis si longtemps, elle est ta seconde famille tu es toujours là pour elle, et même si elle t’a laissé pour un homme tu ne lui en veut pas, ainsi vas la vie, à ton tour maintenant de te construire un futur. Mais tu as horreur d’être vulnérable et l’amour te rends ainsi, on a tellement piétiné ton cœur que tu ne souhaites plus être avec un homme.
Tu te sens mal et si seule. Tes yeux sont voilés par cette tristesse qui t’envahie parfois, lorsque tu sens que tout vas mal, que tu te sens vidé. Tu n’en peux plus, tu suffoques. Tu ne sais pas pourquoi mais parfois tu as ce genre d’angoisse qui t’envahies, tu panique complètement. Tellement que ton corps tout entier tremble, tu serres tes bras contre ton ventre et tu respires doucement. Lorsque tu te sens si vidé de sentiments, il n’y a qu’une chose qui te fais sentir en vie. Tu enfile l’une des robes qui épousent tes formes, tu vas sortir, te désarticuler sous la musique de la boite de nuit. Tu finiras par te coller à un homme et le capturer entre tes griffes, tu as besoins de cette frénésie pour faire battre ton cœur de nouveau, un bon coup d’adrénaline pour repartir. Tes doigts glissent dans sa nuque, tes lèvres cherchent les siennes, vos corps s’entrechoquent. Tu finis par trouver ce que tu cherchais, vos corps nus à l’unisson, tu ne cherches pas… plus autre chose. L’amour tu l’a laissé derrière toi et te contente de ce genre de nuit que tu oublies aussi vite que tes pupille s’ouvrent sur un jour nouveau. Tu enfile ta robe, noue ta chevelure et tu t’enfui, tu as toujours courus loin de ta misérable vie mais tes vieux démons te rattrape. Si tu agis ainsi c’est parce que tu angoisse d’être seule, d’être de nouveau abandonné. Tu marches dans la rue, avec le cœur léger cette nuit ta requinquer, le sexe est ta dose d’adrénaline quand ton cœur ralentit et à la limite de s’arrêter. « Hé tu ne te souviens pas de moi ? » c’est à cette phrase que tu t’es rendu compte que tu avais un soucie, mais tu le caches si bien sous tes sourires et tes belles paroles tu es en manque d'affection, d'amour. Tu es heureuse oui mais pas assez, tu te sens trop seule pour l'être complètement. Et dans ce paradoxe tu n'as pas envie de trouver l'amour, car s'il te quitte tu tombera de trop haut pour te relever.
Tes pupilles sont plongées dans les siennes, un sourire vient même étirer tes lèvres. « Qu’est ce qui te fais croire que j’en ai envie ? » articule-tu posant ta main sur son torse, tu mets de suite les distances car tu as simplement horreur qu’un homme t’approche ainsi. Son regard désireux de pouvoir toucher ton corps, tes seins, tu n’es pas lasse que les hommes viennent à toi car tu es belle mais ils ne font que te désirer, n’importe quel homme tu as pu croiser dans ta vie ne t’a jamais aimer. Tu ne recherches pas le grand amour non, mais tu dis que si tu avais un physique plus ingrat aucun des hommes qui t’abordent depuis ta naissance ne l’aurait fait. Oui tu es lasses que l’on t’aborde juste parce que tu es plus belle que l’anormale, tu n’en te plains pas mais ce que tu veux c’est qu’un homme t’apprécie pour ce que tu es et non pour ton physique. « Allé, rien qu’un petit. » tu secoues la tête, levant légèrement les yeux au ciel. « Je ne suis pas ce genre de fille. » dis-tu, même si parfois tu l’es quand tout vas mal tu te réfugies dans le plaisir de la chair, car tu sais que tu seras toujours désirer. « Vraiment et quel genre de femme tu es ? » son visage s’approche de ton oreille, tu le laisse faire, ses mains attrapent ta taille, vous êtes proches, tu sens son haleine alcoolisée. « Le genre à te résister et t’humilier. » ton genoux remonte jusqu’à ses bijoux de famille, il se plie de douleur. Il t’a énervé chose qu’il faut éviter car tu deviens violente. Tes doigts attrapent le verre qu’il t’a offert, tu le bois coup sec pour te baisser vers lui. « Merci pour le verre. » tes doigts glissent sur son épaule et tu te casses. Ceux qui ont vu la scène te jugent tu regard, tu n’en as rien à faire après tout ça fait longtemps que tu ne fais plus aux regards qu’une personne peut te lancer. Tu attrapes ta veste et la pose sur tes épaules pour sortir, non ce soir tu as juste envie de rentrer et de dormir, seule. Ta colocataire s’en est allée suite à son mariage, elle, tu la connais depuis si longtemps, elle est ta seconde famille tu es toujours là pour elle, et même si elle t’a laissé pour un homme tu ne lui en veut pas, ainsi vas la vie, à ton tour maintenant de te construire un futur. Mais tu as horreur d’être vulnérable et l’amour te rends ainsi, on a tellement piétiné ton cœur que tu ne souhaites plus être avec un homme.
Tu te sens mal et si seule. Tes yeux sont voilés par cette tristesse qui t’envahie parfois, lorsque tu sens que tout vas mal, que tu te sens vidé. Tu n’en peux plus, tu suffoques. Tu ne sais pas pourquoi mais parfois tu as ce genre d’angoisse qui t’envahies, tu panique complètement. Tellement que ton corps tout entier tremble, tu serres tes bras contre ton ventre et tu respires doucement. Lorsque tu te sens si vidé de sentiments, il n’y a qu’une chose qui te fais sentir en vie. Tu enfile l’une des robes qui épousent tes formes, tu vas sortir, te désarticuler sous la musique de la boite de nuit. Tu finiras par te coller à un homme et le capturer entre tes griffes, tu as besoins de cette frénésie pour faire battre ton cœur de nouveau, un bon coup d’adrénaline pour repartir. Tes doigts glissent dans sa nuque, tes lèvres cherchent les siennes, vos corps s’entrechoquent. Tu finis par trouver ce que tu cherchais, vos corps nus à l’unisson, tu ne cherches pas… plus autre chose. L’amour tu l’a laissé derrière toi et te contente de ce genre de nuit que tu oublies aussi vite que tes pupille s’ouvrent sur un jour nouveau. Tu enfile ta robe, noue ta chevelure et tu t’enfui, tu as toujours courus loin de ta misérable vie mais tes vieux démons te rattrape. Si tu agis ainsi c’est parce que tu angoisse d’être seule, d’être de nouveau abandonné. Tu marches dans la rue, avec le cœur léger cette nuit ta requinquer, le sexe est ta dose d’adrénaline quand ton cœur ralentit et à la limite de s’arrêter. « Hé tu ne te souviens pas de moi ? » c’est à cette phrase que tu t’es rendu compte que tu avais un soucie, mais tu le caches si bien sous tes sourires et tes belles paroles tu es en manque d'affection, d'amour. Tu es heureuse oui mais pas assez, tu te sens trop seule pour l'être complètement. Et dans ce paradoxe tu n'as pas envie de trouver l'amour, car s'il te quitte tu tombera de trop haut pour te relever.