« Nous allons bientôt nous marier, deux mois et je te passerais enfin l’anneau au doigt. Trois mois et notre premier enfant sera près de nous. Je t’aime ma femme ! » Cela faisait déjà an un et trois mois que j’étais fiancé à l’homme que j’aimais terriblement. Un appartement ensemble, bref j’avais la belle vie. Un travail ainsi qu’une famille, je ne pouvais rien demander de plus. Si, peut-être une seule chose. Une semaine de vacances avant le mariage pour se détendre et oublier tous le stress. C’est pourquoi une semaine avant nous sommes parti à Madagascar, une semaine de folie et de détente. Je n’avais plus forcément envie de retourner à Los Angeles, il faisait tellement beau et tellement chaud. Il faisait si bon et je n’avais aucune envie de reprendre l’avion. En effet j’avais eu beaucoup peur à cause des centaines de films que j’avais regardés quand j’étais petite. Je ne pouvais jamais dormir dans un avion. Malheureusement toutes les belles histoires ont une fin. De nouveau arrivé à Los Angeles, j’avais repris la voiture en compagnie de mon futur homme. Dans deux jours allaient se passer mon mariage, je devais faire un récapitulatif de ce que ma mère avait préparé avec mes amis et ma sœur. Alors que nous étions sur la route menant à notre appartement, une voiture à déboulé de nulle part nous coupant la route. Mon fiancé avait voulu tout faire pour l’éviter et ne pas lui risquer sa vie. Malheureusement il a risqué ma vie et la sienne, nous avons foncé droit dans le faussé. La voiture ne s’est pas arrêtée, elle a continuée faisant des tonneaux plus précisément cinq avant de s’arrêter contre un arbre. Pour la suite je ne m’en souviens pas, j’ai juste entendu l’alarme des pompiers, du SAMU et certainement des policiers. Je me rappelle plus de rien par la suite, je me suis retrouvé sur un lit d’hôpital. L’hôpital de Los Angeles. J’étais allongé dans un lit blanc, quand je me suis réveillé ma mère se trouvait à côté de moi et bien évidemment mon père n’était pas là. Mon fiancé n’ont plus n’était pas là, il était où ? Deux jours après j’allais largement mieux, j’avais eu juste quelques égratignures, des côtes cassées ainsi que la clavicule gauche fracturée. Le jour de mon mariage je me trouvais enfermé dans une chambre que je ne devais pas quitter avant une semaine. Je devais passer de nombreux examens, mais j’avais le droit de sortir quelques heures pour me changer les idées. Je n’avais toujours pas vu Maxyme, l’homme que j’aimais. Je me promenais alors dans les couloirs jusqu’à ce que j’arrive devant sa chambre. Il était là allongé dans son lit, relié par énormément de fils et de machines. Son père parlait à un médecin, j’entendais leurs discussions, enfin une moitié. Car quand celui-ci m’avait remarqué il avait arrêté de me parler et il était directement venu près de moi. Me serrant fort dans ces bras, il voulait me parler. Il avait quelque chose de très important à me dire, son visage était abimé par la fatigue. Il voulait que je m’asseye et que je sois calme. Chose dur quand mon fiancé se trouvait dans un lit, dans le coma. Il me parlait rapidement, je ne comprenais pas tout. Jusqu’à ce qu’une phrase me tire de mes pensées. « Il faut le débrancher, il ne se réveillera jamais. Il ne peut pas respirer sans les machines et il s’enfonce peu à peu. Je suis désolé Maëlys. » Les larmes coulaient le long de mes joues, j’étais alors vers son lit, je lui tenais la main en espérant qu’il ouvre ses yeux. Je lui déposais un léger baiser sur ses lèvres et je partais loin de sa chambre. Retournant dans mon lit, d’ailleurs je ne mangeais plus et je restais allongé sur mon lit toute la journée. Je ne pensais plus à rien, je ne pensais qu’à ce mariage qui devait se dérouler aujourd’hui. La robe qui se trouvait dans l’armoire de ma mère, bien caché pour que personne ne tombe dessus. Je pouvais tout bruler et oublier. Je devais oublier tout, recommencer ? Je ne pouvais pas, ma vie c’était lui et elle était détruite à présent. Le jour où son corps était emmené dans un cercueil jusqu’au cimetière, je me trouvais dans les premiers rangs en compagnie de sa famille. Le bras dans le plâtre, recousu à certains endroits sur le visage. Je ne disais rien, je ne parlais plus. Je me renfermais de plus en plus sur moi et j’avais perdu déjà plus de cinq kilos. Celui-ci était au fond du trou, les personnes étaient allées se réfugier dans la salle polyvalente autour d’un café ou cacao chaud. Tandis que moi je me trouvais sous la pluie vers la tombe de celui que j’aimais. Je ne pouvais pas le laisser seul et je ne pouvais pas rester seule dans mon appartement ou chaque endroit me rappelait Maxyme. J’avais décidé de partir loin d’ici et d’aller à Londres, j’avais été contacté par certains directeurs et ils avaient besoin de ma science pour une fouille. J’avais alors tout mis dans des valises et je partais pour Londres. Une fois arrivé, j’avais loué une chambre le temps que l’appartement que j’avais trouvé se libère. C’est ainsi que je suis arrivé à Londres.
Alors que je m'allongeais sur mon lit, je regardais en même temps une ancienne photo qui traînait sur mon portable. Celle-ci était tout simplement une photo de moi ainsi que de mon père, dans ses bras avec le grand sourire. Je me replongeais dans mes pensées. J'étais née dans une très grande clinique et j'y suis resté seulement quelques jours, j'étais en parfaite santé. Tout allait donc bien pour le meilleur du monde. Je suis donc retourné dans ma grande maison, j'avais ma propre chambre peinte en rose et rouge. Les années sont passées et j'avais eu une petite sœur. Elle dormait dans la même chambre que moi, nous avions seulement deux ans de différence. J'avais une super famille, j'avais toujours beaucoup de cadeaux pour Noël ou mon anniversaire. J'avais un seul rêve : Devenir archéologue comme mon père. Je voyais mon père comme un super héros qui prenait le temps de me lire une histoire avant de m'endormir. Il s'occupait de moi comme une petite princesse et d'ailleurs il m'amenait souvent dans les zoos pour voir les animaux. Je grandissais et je m'éloignais légèrement de mes parents, je partais chez des amis et j'allais en soirée. J'étais déjà au lycée, je faisais ce que je voulais et d'ailleurs ils pouvaient rien me dire. J'avais un caractère pourri et je l'assumais jusqu'au bout. Mais une fois je rentrais d'une soirée, il n'était pas encore trop tard. J'étais malade et je ne me sentais pas d'attaque à rester encore plus longtemps à l'anniversaire de ma meilleure amie. Alors que je pensais que tout le monde dormait, j'étais allé prendre une douche. C'est alors qu'à ce moment-là j'entendais ma mère s'engueuler avec mon père. Celle-ci avait des liaisons avec des hommes depuis longtemps. Elle le trompait depuis au moins six mois et elle en était fière. Mon père avait décidé de quitter cette maison et de ne plus jamais y remettre un pied. J'en avais toujours voulu à ma mère, malheureusement mon père ne donnait plus de nouvelle de lui. J'avais décidé de laisser tomber les recherches et de me concentrer sur mes études. C'est en arrivant à l'université que j'avais rencontré Maxyme. Le tombeur de ces dames, celui qui faisait craquer tout le monde en claquant des doigts. Un peu rebelle, un peu chiant, mais si charmeur. J'étais dans sa classe et je devais le supporter pendant encore cinq ans. Au final avec le temps on apprenait à se connaître, on allait en soirée ensemble. Il me donnait ses avis sur mes vêtements et moi aussi. Il se passait un jeu entre nous deux, que du sexe mais pas de sentiment. Malheureusement j'avais perdu et j'avais laissé mes sentiments s'installer. Heureusement pour moi, lui non plus n'avait pas pu résister. Nous avions donc tenté de former un couple et cela avait parfaitement marché. D'ailleurs cela à durée des années et des années jusqu'au jour ou une voiture avait décidé de se mettre en travers de notre chemin. Je l'avais perdu, perdu à jamais. À ces pensées je laissais couler encore des larmes avant de recevoir un appel d'un de mes directeurs pour que je le rejoigne à mon lieu de travail.
Alors que je m'allongeais sur mon lit, je regardais en même temps une ancienne photo qui traînait sur mon portable. Celle-ci était tout simplement une photo de moi ainsi que de mon père, dans ses bras avec le grand sourire. Je me replongeais dans mes pensées. J'étais née dans une très grande clinique et j'y suis resté seulement quelques jours, j'étais en parfaite santé. Tout allait donc bien pour le meilleur du monde. Je suis donc retourné dans ma grande maison, j'avais ma propre chambre peinte en rose et rouge. Les années sont passées et j'avais eu une petite sœur. Elle dormait dans la même chambre que moi, nous avions seulement deux ans de différence. J'avais une super famille, j'avais toujours beaucoup de cadeaux pour Noël ou mon anniversaire. J'avais un seul rêve : Devenir archéologue comme mon père. Je voyais mon père comme un super héros qui prenait le temps de me lire une histoire avant de m'endormir. Il s'occupait de moi comme une petite princesse et d'ailleurs il m'amenait souvent dans les zoos pour voir les animaux. Je grandissais et je m'éloignais légèrement de mes parents, je partais chez des amis et j'allais en soirée. J'étais déjà au lycée, je faisais ce que je voulais et d'ailleurs ils pouvaient rien me dire. J'avais un caractère pourri et je l'assumais jusqu'au bout. Mais une fois je rentrais d'une soirée, il n'était pas encore trop tard. J'étais malade et je ne me sentais pas d'attaque à rester encore plus longtemps à l'anniversaire de ma meilleure amie. Alors que je pensais que tout le monde dormait, j'étais allé prendre une douche. C'est alors qu'à ce moment-là j'entendais ma mère s'engueuler avec mon père. Celle-ci avait des liaisons avec des hommes depuis longtemps. Elle le trompait depuis au moins six mois et elle en était fière. Mon père avait décidé de quitter cette maison et de ne plus jamais y remettre un pied. J'en avais toujours voulu à ma mère, malheureusement mon père ne donnait plus de nouvelle de lui. J'avais décidé de laisser tomber les recherches et de me concentrer sur mes études. C'est en arrivant à l'université que j'avais rencontré Maxyme. Le tombeur de ces dames, celui qui faisait craquer tout le monde en claquant des doigts. Un peu rebelle, un peu chiant, mais si charmeur. J'étais dans sa classe et je devais le supporter pendant encore cinq ans. Au final avec le temps on apprenait à se connaître, on allait en soirée ensemble. Il me donnait ses avis sur mes vêtements et moi aussi. Il se passait un jeu entre nous deux, que du sexe mais pas de sentiment. Malheureusement j'avais perdu et j'avais laissé mes sentiments s'installer. Heureusement pour moi, lui non plus n'avait pas pu résister. Nous avions donc tenté de former un couple et cela avait parfaitement marché. D'ailleurs cela à durée des années et des années jusqu'au jour ou une voiture avait décidé de se mettre en travers de notre chemin. Je l'avais perdu, perdu à jamais. À ces pensées je laissais couler encore des larmes avant de recevoir un appel d'un de mes directeurs pour que je le rejoigne à mon lieu de travail.